La pensée post-coloniale pose le refus de l'universalité au titre que ce concept collabore à proptéger les déséquilibres coloniaux, inégalités entre les Européens et les peuples colonisés, en termes de : centre et la périphérie, le soi et l'autre, la civilisation et la barbarie, le même et le divers, le civilisé et le primitif.
"The end of European imperialism did not signal the death of its project of universalism. Nor did entry into the period of the so-called liberating “posts” neutralize the Manichean epistemologies of race, ethnic and geo-cultural difference on which colonialism operated and flourished. Edward Said reminds us in Culture and Imperialism that “the imperial past lives on” (20) in today’s global setting even as its liberties, flows, and multiplicities are celebrated. " (Jenifer Rahim, Anthurium 2004, vol 2) [ link ]
Or, la question de l'Art, du Beau est une question qui relève de l'universalité. Cela empêche-t-il une réflexion d'ordre esthétique ?
Qu'est-ce que l'art, à l'heure du post-colonial ?
Et après le post-colonial ?
Quel rapport a-t-on à l'oeuvre d'art ?
http://www.fabula.org/actualites/article32030.php